La sculpture de Bernhard Rüdiger, Petrolio (locus desertus), 2006 de la collection de l’Institut a été le point d’ancrage de l’exposition. Bernhard Rüdiger fut dans le même temps invité par l’Institut à concevoir un projet pour l’ensemble du château à partir des collections de l’Institut, du Musée d’art moderne de Saint-Etienne Métropole et du Château de la Bâtie d’Urfé.
Considéré comme un des lieux les plus exceptionnels et insolites du département de la Loire, le visiteur était mis en situation d’expérimenter les espaces et les œuvres à travers une proposition « transhistorique ».
Avec le concours du Musée d'Art Moderne de Saint-Étienne Métropole.