Découvrez pendant une semaine, l'intégralité de la vidéo de Lola Gonzàlez, Veridis Quo (2016) présentée dans l'exposition Rituel·le·s.
Le travail de vidéo, de photographie et de performance de Lola Gonzàlez réunit ses amis et les met en scène dans divers environnements domestiques ou extérieurs. Ce groupe d’amis semble confronté à la vanité de l’existence et occasionne d’étonnants synchronismes, où la communication passe par le corps, la musique ou les regards. Avec une certaine gravité, ses vidéos mettent en relief l’étrange énergie instinctive d’un collectif sous une forme aussi énigmatique que grégaire et questionne de manière poétique la solidarité, l’espoir commun, la tendance à adopter un même comportement hors de tout contexte. Mais le travail de Lola Gonzàlez met aussi en lumière l’inscription d’une œuvre dans l’Histoire, son ancrage par rapport au présent et au passé.
→ Lola Gonzàlez, Veridis Quo, 2016
Vidéo couleur sonore HD, stéréo, 15 min
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Veridis Quo se nourrit d’expériences menées par un cercle d’amis de l’artiste, dont les actions semblent engagées à la fois dans un mouvement de résistance et d’abandon face au reste du monde. Ce groupe énigmatique peut être perçu comme un rempart au désœuvrement politique mais aussi comme un catalyseur d’un certain désarroi métaphysique. Ensemble, ils semblent se préparer à perdre la vue, ils s’entraînent à tirer les yeux bandés. Comme prisonniers d’un rêve, ils se réveillent aveugles et sans surprise, guidés par deux d’entre eux vers une crique vertigineuse où ils sont laissés en attente, livides, avec leurs armes.
Le travail de vidéo, de photographie et de performance de Lola Gonzàlez réunit ses amis et les met en scène dans divers environnements domestiques ou extérieurs. Ce groupe d’amis semble confronté à la vanité de l’existence et occasionne d’étonnants synchronismes, où la communication passe par le corps, la musique ou les regards. Avec une certaine gravité, ses vidéos mettent en relief l’étrange énergie instinctive d’un collectif sous une forme aussi énigmatique que grégaire et questionne de manière poétique la solidarité, l’espoir commun, la tendance à adopter un même comportement hors de tout contexte. Mais le travail de Lola Gonzàlez met aussi en lumière l’inscription d’une œuvre dans l’Histoire, son ancrage par rapport au présent et au passé.
→ Lola Gonzàlez, Veridis Quo, 2016
Vidéo couleur sonore HD, stéréo, 15 min
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Veridis Quo se nourrit d’expériences menées par un cercle d’amis de l’artiste, dont les actions semblent engagées à la fois dans un mouvement de résistance et d’abandon face au reste du monde. Ce groupe énigmatique peut être perçu comme un rempart au désœuvrement politique mais aussi comme un catalyseur d’un certain désarroi métaphysique. Ensemble, ils semblent se préparer à perdre la vue, ils s’entraînent à tirer les yeux bandés. Comme prisonniers d’un rêve, ils se réveillent aveugles et sans surprise, guidés par deux d’entre eux vers une crique vertigineuse où ils sont laissés en attente, livides, avec leurs armes.
