L’exposition est née d’un partenariat entre l’Institut d’art contemporain, Villeurbanne et le Lycée Pierre Béghin de Moirans (Isère).
L’Institut d’art contemporain développe tout au long de l’année de nombreux projets de diffusion sur l’ensemble du territoire de la région Auvergne-Rhône-Alpes en cohésion avec l’ensemble des partenaires, lui permettant de faire rayonner sa collection par la mise en place d’expositions ex situ.
L’Institut d’art contemporain développe tout au long de l’année de nombreux projets de diffusion sur l’ensemble du territoire de la région Auvergne-Rhône-Alpes en cohésion avec l’ensemble des partenaires, lui permettant de faire rayonner sa collection par la mise en place d’expositions ex situ.
Faire des Histoires est le fruit d’une collaboration entamée l'année dernière avec l'exposition Les corps pèsent légèrement, entre François Germa, enseignant en arts plastiques au lycée, et le Service des publics de l’Institut d’art contemporain.
Dans l’exposition que proposent cette année l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne et le Lycée Pierre Béghin, on trouvera des œuvres qui rendent compte de choses vues (Anri Sala), qui mêlent le réel et la fiction (Valérie Jouve), qui proposent des scénarios catastrophes (Anne-Valérie Gasc), qui font exister des fantômes (Lawrence Weiner), qui sortent les vieux contes du sommeil (Pierre Joseph), qui imaginent le futur (Irmgard Sigg). Dessin, photographie, performance, différents moyens sont mobilisés au profit de récits partiels, embryonnaires, et ouverts, laissant aux regardeurs le soin de faire les tableaux. Des œuvres comme autant de canevas sur lesquels le spectateur projette et improvise, donnant ainsi chair aux histoires amorcées.
Dans l’exposition que proposent cette année l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne et le Lycée Pierre Béghin, on trouvera des œuvres qui rendent compte de choses vues (Anri Sala), qui mêlent le réel et la fiction (Valérie Jouve), qui proposent des scénarios catastrophes (Anne-Valérie Gasc), qui font exister des fantômes (Lawrence Weiner), qui sortent les vieux contes du sommeil (Pierre Joseph), qui imaginent le futur (Irmgard Sigg). Dessin, photographie, performance, différents moyens sont mobilisés au profit de récits partiels, embryonnaires, et ouverts, laissant aux regardeurs le soin de faire les tableaux. Des œuvres comme autant de canevas sur lesquels le spectateur projette et improvise, donnant ainsi chair aux histoires amorcées.
