Les œuvres exposées à la Fabrique du Pont d’Aleyrac expriment une forme moderne du « sentiment de la nature ». Leur création se situe principalement des années 1970 à 1990. Si elles relèvent partiellement du mouvement du Land Art et du sillage profond qu’il a laissé, elles sont conçues pour être présentées à l’intérieur.
Sur le sol de l’ancienne salle du moulinage, le cercle plein d’écorce de pin, œuvre emblématique de Richard Long côtoie les Colonnes de Jacques Vieille. D’autres sculptures sont présentes, le pic himalayen de Kate Blacker, ou l’hommage à la Grande Chartreuse de Marie Bourget.
Aux murs des peintures de grand format de Vincent Bioulès, Patrice Giorda, Gérard Traquandi tentent de répondre à la fameuse question : peut-on encore peindre un paysage ?
La photographie participe à cette réflexion à travers des œuvres de Hamish Fulton, de Bernard Plossu, ainsi qu’une célèbre image de Walker Evans, celle d’une paire de chaussures fatiguées signant le travail physique, évoquant ici celui de l’artiste qui arpente, cherche, trace sa marche (et la nôtre) à travers le paysage…
L'œuvre de Bernard Plossu est issue d'une Collection Privée.
→ Conférences par Lydie Rekow-Fond, historienne de l’art contemporain : les jeudis 20 juillet et 17 août 2017 à 17h
Aux murs des peintures de grand format de Vincent Bioulès, Patrice Giorda, Gérard Traquandi tentent de répondre à la fameuse question : peut-on encore peindre un paysage ?
La photographie participe à cette réflexion à travers des œuvres de Hamish Fulton, de Bernard Plossu, ainsi qu’une célèbre image de Walker Evans, celle d’une paire de chaussures fatiguées signant le travail physique, évoquant ici celui de l’artiste qui arpente, cherche, trace sa marche (et la nôtre) à travers le paysage…
L'œuvre de Bernard Plossu est issue d'une Collection Privée.
→ Conférences par Lydie Rekow-Fond, historienne de l’art contemporain : les jeudis 20 juillet et 17 août 2017 à 17h
