Prêt de l'œuvre de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Jean-Jacques Rullier, 150 Objets pour couper, 1989
Jean-Jacques Rullier, 150 Objets pour couper, 1989
Ce qui reste, du 21/03/2025 au 21/09/2025, Musée Paul-Dini, Musée municipal de Villefranche-sur-Saône, France
Le musée municipal Paul-Dini poursuit sa collaboration avec des acteurs du territoire, en s’associant au programme « hors les murs » du festival Campagne Première qui, depuis 2018, facilite l’accès à l’art contemporain dans les territoires ruraux et la mise en valeur du patrimoine local.
À l’été 2024, l’exposition du festival intitulée D’aussi loin que je me souvienne s’intéressait à la persistance des gestes manuels et des savoir-faire agricoles. L’exposition Ce qui reste met en évidence la question de l’héritage, de l’enracinement et de la transmission. À travers une pluralité de médiums et de regards portés sur la transformation de nos pratiques et savoir-faire traditionnels, sur l’évolution de nos paysages et modes de vie, les artistes témoignent ici de la richesse et du dynamisme de ces influences du passé, qui s’expriment dans la création contemporaine.
Cette exposition se parcourt comme on plonge dans un livre ouvert sur de multiples « récits de territoire ». Jamais figés dans des souvenirs gelés, les artistes nous questionnent sur ces liens qu’on retient et qu’on entretient et qui persistent dans notre mémoire collective. On y découvre des œuvres aux croisements des mondes, des archives vivantes de notre époque, comme de nouveaux témoins du temps qui reste, par ceux qui restent.
Le musée municipal Paul-Dini poursuit sa collaboration avec des acteurs du territoire, en s’associant au programme « hors les murs » du festival Campagne Première qui, depuis 2018, facilite l’accès à l’art contemporain dans les territoires ruraux et la mise en valeur du patrimoine local.
À l’été 2024, l’exposition du festival intitulée D’aussi loin que je me souvienne s’intéressait à la persistance des gestes manuels et des savoir-faire agricoles. L’exposition Ce qui reste met en évidence la question de l’héritage, de l’enracinement et de la transmission. À travers une pluralité de médiums et de regards portés sur la transformation de nos pratiques et savoir-faire traditionnels, sur l’évolution de nos paysages et modes de vie, les artistes témoignent ici de la richesse et du dynamisme de ces influences du passé, qui s’expriment dans la création contemporaine.
Cette exposition se parcourt comme on plonge dans un livre ouvert sur de multiples « récits de territoire ». Jamais figés dans des souvenirs gelés, les artistes nous questionnent sur ces liens qu’on retient et qu’on entretient et qui persistent dans notre mémoire collective. On y découvre des œuvres aux croisements des mondes, des archives vivantes de notre époque, comme de nouveaux témoins du temps qui reste, par ceux qui restent.
