Découvrez pendant une semaine, l'intégralité de la vidéo de Bertille Bak, Ô Quatrième (2012) présentée dans l'exposition Rituel·le·s.
Le travail de Bertille Bak explore la notion d’identité communautaire, principalement par le biais de la vidéo mais aussi au moyen de sculptures, d’objets trouvés, de dessins ainsi que d’archives. S’inspirant des communautés qu’elle côtoie, Bertille Bak s’attache à en consigner la mémoire par la collecte et l’archivage de témoignages, rites et objets qui les font vivre. Si ses œuvres sont nourries d’une observation minutieuse et patiente, elles débordent souvent le cadre rigoureux du pur enregistrement du réel par des digressions humoristiques, à la lisière du burlesque et de l’absurde.
→ Bertille Bak, Ô Quatrième, 2012
Vidéo, couleur sonore, 17 min
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Bertille Bak accompagne les questionnements existentiels d’un groupe de religieuses retirées dans un couvent. L’artiste dévoile ici l’analogie entre élévations physique et spirituelle puisque les religieuses sont amenées à s’installer à un étage supérieur du bâtiment à mesure qu’elles vieillissent, pour atteindre en fin de vie le quatrième et dernier étage. Désormais recluses de l’activité quotidienne de la communauté, elles attendent le passage vers l’au-delà en se rapprochant du ciel. Bertille Bak parvient à nouer une réelle complicité avec les protagonistes de son film, en partageant leur intimité et en recueillant leurs souvenirs. Non sans humour et tendresse, elle capte ainsi les gestes et rituels qui régissent un quotidien passé à l’écart du monde.
Le travail de Bertille Bak explore la notion d’identité communautaire, principalement par le biais de la vidéo mais aussi au moyen de sculptures, d’objets trouvés, de dessins ainsi que d’archives. S’inspirant des communautés qu’elle côtoie, Bertille Bak s’attache à en consigner la mémoire par la collecte et l’archivage de témoignages, rites et objets qui les font vivre. Si ses œuvres sont nourries d’une observation minutieuse et patiente, elles débordent souvent le cadre rigoureux du pur enregistrement du réel par des digressions humoristiques, à la lisière du burlesque et de l’absurde.
→ Bertille Bak, Ô Quatrième, 2012
Vidéo, couleur sonore, 17 min
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Bertille Bak accompagne les questionnements existentiels d’un groupe de religieuses retirées dans un couvent. L’artiste dévoile ici l’analogie entre élévations physique et spirituelle puisque les religieuses sont amenées à s’installer à un étage supérieur du bâtiment à mesure qu’elles vieillissent, pour atteindre en fin de vie le quatrième et dernier étage. Désormais recluses de l’activité quotidienne de la communauté, elles attendent le passage vers l’au-delà en se rapprochant du ciel. Bertille Bak parvient à nouer une réelle complicité avec les protagonistes de son film, en partageant leur intimité et en recueillant leurs souvenirs. Non sans humour et tendresse, elle capte ainsi les gestes et rituels qui régissent un quotidien passé à l’écart du monde.
