Dans un espace à chaque fois renouvelé, l'Institut produit trois périodes d'expositions annuelles, elles-mêmes composées de projets simultanés à caractère inédit.
L'exposition personnelle, exercice au plus proche de l'artiste et de la création, s'impose à l'Institut comme un principe matriciel (2006 : Anthony McCaIl, Allen Ruppersberg ; 2007 : François Curlet, Jef Geys ; 2009 : Laurent Montaron ; 2010 : Michel François, Matt Mullican ; 2011 : Hans Schabus, Joachim Koester ; 2012 : Berdaguer & Péjus, Bojan Šarčević ; 2013 : Saâdane Afif, Manfred Pernice ; 2014 : Thomas Bayrle, Guillaume Leblon ; 2016 : Jason Dodge ; 2017 : Ann Veronica Janssens, Maria Loboda ; 2018 : Katinka Bock ; 2019 : Daniel Steegmann Mangrané ; 2021 : Apichatpong Weerasethakul, etc.).
Les expositions collectives, de groupes ou thématiques, permettent, de façon plus ponctuelle et expérimentale, d'interroger les enjeux de la création actuelle (2008 : Fabricateurs d'espaces ; 2011 : Yes We Don’t ; 2013 : 1966-79 ; 2015 : RIDEAUX / blinds ; OTIUM #1- De Mineralis, Pierres de vision & Kata Tjuta ; OTIUM #2 - Demain dans la bataille pense à moi & Collection 15 ; 2016 : Le Temps de l'audace et de l'engagement ; 2018 : OTIUM#3 - Jean-Marie Perdrix, Linda Sanchez, Dane Mitchell ; 2019OTIUM #4 - Leone Contini, Maria Laet, Kate Newby ; 2022 : La Fabrique du Nous #1 / Quels Territoires ?, etc.)

Les échos du silence / Echoes of Silence

CHANG Yung-Ta

du  au 

IAC Villeurbanne

Pour sa première exposition personnelle en Europe, CHANG Yung-Ta propose de découvrir les fréquences cachées du réel.

À la manière d’une balade méditative, Les échos du silence donnent à contempler les variations qui, bien que subtiles, façonnent notre environnement. Outils de mesure autant qu'œuvres d'art, les installations de CHANG Yung-Ta usent ainsi de la technologie pour transformer des données issues de phénomènes naturels en compositions sonores et visuelles.

L’exposition marque un point clé dans le parcours de l’artiste et présente des œuvres intrinsèquement habitées par l’aléatoire et l’accident. En accueillant l’entropie comme mode de composition, CHANG Yung-Ta nous offre une réflexion sur l’invisible et l'usage des technologies comme outils de connaissance et de création.

Dernier avertissement / Last Warning

LI Yi-Fan

du  au 

IAC Villeurbanne

L’Institut d’art contemporain accueille la première exposition personnelle en Europe de LI Yi-Fan, figure montante de la scène contemporaine taïwanaise, récemment choisi pour représenter Taïwan à la Biennale de Venise 2026.

Le projet réunit les dernières installations vidéo de l’artiste, dont la production repose sur un principe de DIY radical. En adaptant les moteurs de jeu à ses besoins, LI Yi-Fan développe ses œuvres dans une expérimentation constante avec la machine, faisant de chaque projet un processus long et méticuleux. Dernier avertissement marque ainsi un point d’étape, offrant à la fois un regard sur une pratique en mutation permanente – toujours en avance sur sa propre obsolescence – et une réflexion sur notre rapport au virtuel, entre fascination, saturation et perte de repères.

Dernier Avertissement / Les échos du silence

Deux expositions personnelles : LI Yi-Fan et CHANG Yung-Ta

du  au 

IAC Villeurbanne

Cet été, l’Institut d’art contemporain divise son espace pour accueillir les deux premières expositions personnelles en Europe des artistes CHANG Yung-Ta et LI Yi-Fan.
Elles offrent une plongée dans des pratiques artistiques innovantes qui usent, chacune à leur manière, des moyens technologiques de notre temps pour repousser les limites de nos perceptions.
IAC → EXPOSITIONS → in situ → en-cours
i-ac.eu/fr/expositions/24_in-situ/en-cours
imprimé le 24 mai 2025 [03:10] depuis l'adresse IP : 216.73.216.76
© Institut d’art contemporain 2025