Prêts de œuvres de la Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes :
Jan Groover, Sans titre (n° 629), 1981
Jan Groover, Sans titre (n° 644), 1981
Jan Groover, Sans titre (n° 1062), 1982
Jan Groover, Sans titre (n° 1065), 1982
Jan Groover, Sans titre (n° 1066), 1981
Craigie Horsfield, Klub Pod Jaszczurami, Rynek Glowny, Krakow, 1977
Craigie Horsfield, Malgorzata Tusiewicz, Szlachtowskiego, Krakow, avril 1979
Karen Knorr, Gentlemen, 1982
Helen Levitt, New York, 1959
Helen Levitt, New York, 1972
Helen Levitt, New York, 1972
Helen Levitt, New York, 1980
Jan Groover, Sans titre (n° 629), 1981
Jan Groover, Sans titre (n° 644), 1981
Jan Groover, Sans titre (n° 1062), 1982
Jan Groover, Sans titre (n° 1065), 1982
Jan Groover, Sans titre (n° 1066), 1981
Craigie Horsfield, Klub Pod Jaszczurami, Rynek Glowny, Krakow, 1977
Craigie Horsfield, Malgorzata Tusiewicz, Szlachtowskiego, Krakow, avril 1979
Karen Knorr, Gentlemen, 1982
Helen Levitt, New York, 1959
Helen Levitt, New York, 1972
Helen Levitt, New York, 1972
Helen Levitt, New York, 1980
Cette exposition emprunte son titre à une œuvre clé d’Alison Knowles récemment acquise par le Musée. Artiste plasticienne et poétesse américaine, co-fondatrice du mouvement Fluxus, Alison Knowles crée en 1967 The House of Dust, une installation multimédia fonctionnant sur le modèle d’une performance, une œuvre de référence qui constitue l’un des tous premiers poèmes informatiques de l’histoire de l’art. Elle se situe à la croisée de l’innovation informatique, de l’art conceptuel — à travers son esthétique d’administration — et de Fluxus.
L’exposition rassemble une quarantaine d’artistes au sein d’un parcours entremêlant les générations (des années 1960 à aujourd’hui), les nationalités et les disciplines. Le projet bénéficie d’un partenariat avec le Centre national des arts plastiques qui assure pour l’occasion le prêt d’une cinquantaine d’œuvres, dont la majorité rejoindra en dépôt la collection du Musée.
Si cette exposition est fondée sur le critère du genre, elle ne prétend pas essentialiser la création féminine en art, mais cherche plutôt à poursuivre la politique inclusive de l’établissement, la relecture de son histoire et la découverte de ses fonds méconnus ou nouvellement acquis. Ce parcours entièrement féminin réunissant plus de 130 œuvres — peintures, installations, photographies, design, etc. — donne ainsi à explorer trois thématiques principales illustrant des préoccupations communes et récurrentes chez ces créatrices contemporaines : le langage, le corps et la matière.
L’exposition rassemble une quarantaine d’artistes au sein d’un parcours entremêlant les générations (des années 1960 à aujourd’hui), les nationalités et les disciplines. Le projet bénéficie d’un partenariat avec le Centre national des arts plastiques qui assure pour l’occasion le prêt d’une cinquantaine d’œuvres, dont la majorité rejoindra en dépôt la collection du Musée.
Si cette exposition est fondée sur le critère du genre, elle ne prétend pas essentialiser la création féminine en art, mais cherche plutôt à poursuivre la politique inclusive de l’établissement, la relecture de son histoire et la découverte de ses fonds méconnus ou nouvellement acquis. Ce parcours entièrement féminin réunissant plus de 130 œuvres — peintures, installations, photographies, design, etc. — donne ainsi à explorer trois thématiques principales illustrant des préoccupations communes et récurrentes chez ces créatrices contemporaines : le langage, le corps et la matière.
