Prêt de l'œuvre de Niek van de Steeg, Le pavillon à vent (dans son site), 1992
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Collection IAC, Villeurbanne/Rhône-Alpes
Invité à Vénissieux pour une exposition personnelle à l’Espace arts plastiques Madeleine-Lambert, Niek van de Steeg propose un ensemble d’œuvres simultanément divers et cohérent, placé sous le signe de l’anthropocène et d’un titre direct et laconique : Pollution.
Recourant à plusieurs médiums dont la complémentarité dans l’exposition est remarquable - céramique, sculpture, installation, vidéo et wallpainting – l’artiste interroge et met en perspective les activités humaines dans leurs dimensions économiques, sociales, architecturales, topographiques et paysagères.
De nouvelles productions aux couleurs et aux matériaux surprenants s’inscrivent dans le lieu d’exposition, subtilement modifié par l’artiste, et font écho à des œuvres plus anciennes qui ont été spécialement restaurées. Ces dernières apportent une touche rétrospective à cette exposition en révélant un pan davantage fictionnel du travail de Niek van de Steeg.
Dans sa dimension esthétique, documentaire, cinétique et parfois performative, l’exposition Pollution repose sur la faculté de Niek van de Steeg d’entretenir un point de vue simultanément critique et poétique : de maintenir une position d’artiste tout en déchiffrant l’époque, moins bidimensionnelle qu’il n’y parait.
Recourant à plusieurs médiums dont la complémentarité dans l’exposition est remarquable - céramique, sculpture, installation, vidéo et wallpainting – l’artiste interroge et met en perspective les activités humaines dans leurs dimensions économiques, sociales, architecturales, topographiques et paysagères.
De nouvelles productions aux couleurs et aux matériaux surprenants s’inscrivent dans le lieu d’exposition, subtilement modifié par l’artiste, et font écho à des œuvres plus anciennes qui ont été spécialement restaurées. Ces dernières apportent une touche rétrospective à cette exposition en révélant un pan davantage fictionnel du travail de Niek van de Steeg.
Dans sa dimension esthétique, documentaire, cinétique et parfois performative, l’exposition Pollution repose sur la faculté de Niek van de Steeg d’entretenir un point de vue simultanément critique et poétique : de maintenir une position d’artiste tout en déchiffrant l’époque, moins bidimensionnelle qu’il n’y parait.
