Jean-Baptiste Perret, Le sorbier des oiseleurs, 2018 (issu de l'installation Pratiques de réduction du malheur)
En écho aux expositions Au fort les âmes sont, Mère, We, Sea et au film They Parlaient Idéale présentés respectivement au Mucem, au Centre de la Vieille Charité et au [mac] Musée d’art contemporain, actoral et l’artiste pluridisciplinaire Laure Prouvost ont conçu ensemble deux jours de rendez-vous au cœur du festival, le 26 et le 27 septembre. Au programme : lectures, courts-métrages, performances et rencontres, pensés en résonance aux thèmes chers à Laure Prouvost et dans le prolongement des parcours d’exposition.
France | 2018
5 minutes
Un homme fabrique un appeau et lance un appel dans le brouillard. En s’attardant sur cette confection, Le Sorbier des oiseleurs explore de manière poétique les méthodes de communication traditionnelles déployées dans le Massif central : les bergers, conduisant leur troupeau à travers la brume épaisse, rassuraient les fermes en contrebas en produisant des sifflements clairement identifiables.