Née en 1985 à Cherbourg (France), vit et travaille à Lyon (France)
Gaëlle Choisne propose des installations où règne une confusion entre sculpture et image. L’épiphanie de l’image, entre apparition et disparition, est au centre de ses préoccupations.
Elle évoque dans ses oeuvres les moyens de construction ou de reconstruction architecturaux, utilisant la matière organique et le déchet. Le corps, suggéré, est souvent absent de son travail. Celui du spectateur est, quant à lui, dans l’engagement, invité à se contraindre devant l’obstacle ou le piège.
Gaëlle Choisne propose des installations où règne une confusion entre sculpture et image. L’épiphanie de l’image, entre apparition et disparition, est au centre de ses préoccupations.
Elle évoque dans ses oeuvres les moyens de construction ou de reconstruction architecturaux, utilisant la matière organique et le déchet. Le corps, suggéré, est souvent absent de son travail. Celui du spectateur est, quant à lui, dans l’engagement, invité à se contraindre devant l’obstacle ou le piège.