→ Vous avez fait l’acquisition du multiple d‘Ann Veronica Janssens intitulé Magma B & Sunset R, Diptych for IAC’s Friends qui a été produit par les Amis de l’IAC, lors de son exposition mars en 2017 : qu’est-ce qui vous a plu dans cet objet ?
EDJ : Ce multiple d’Ann Veronica Janssens est assez représentatif de son travail et représente un réel continuum de l’exposition mars qui s’est déroulée au printemps 2017 à l’IAC. En effet, on retrouve les éléments constitutifs de son œuvre : les variations colorées, les jeux de lumière et reflets, induits par notre propre déplacement et l’angle de vision choisi pour observer l’œuvre.
→ Ce multiple a été produit dans le cadre d’une exposition présentée à l’IAC. Qu’est-ce que vous avez aimé dans cette exposition, dans le travail de l’artiste ?
EDJ : Je connaissais le travail d’Ann Veronica Janssens que j’ai eu l’occasion de découvrir lors d’une exposition à la Galerie Kamel Mennour. L’exposition mars à l’IAC fut donc en quelque sorte « des retrouvailles » avec les œuvres et la démarche artistique d’Ann Veronica Janssens, dont j’apprécie particulièrement les questionnements sur la perception et l’expérience immersive qu’elle offre au visiteur.
→ Pour vous, ce multiple est-il rattaché à l’exposition ? Est-il un moyen d’en garder une trace, un souvenir ?
EDJ : Effectivement ce multiple est complètement rattaché à l’exposition, il explore et poursuit le processus de travail de l’artiste.
→ Comment vous positionnez-vous en tant que collectionneur face à ce multiple ? Pour vous, est-ce qu’il rejoint une logique de collection, un fil directeur, ou bien est-ce un achat « coup de cœur » ? Comment le multiple prend-il place chez vous ?
EDJ : Je ne me définirais pas à proprement parler comme une véritable collectionneuse. En répondant à ce questionnaire, je me suis interrogée sur mon propre rapport aux œuvres et me suis rendu compte que les œuvres que j’ai pu choisir sont en majorité
des œuvres d’artistes féminines. Il s’agit à chaque fois d’un réel coup de cœur, d’une question de feeling et pas d’un choix délibéré avec un fil directeur, pas de parti pris !
EDJ : Ce multiple d’Ann Veronica Janssens est assez représentatif de son travail et représente un réel continuum de l’exposition mars qui s’est déroulée au printemps 2017 à l’IAC. En effet, on retrouve les éléments constitutifs de son œuvre : les variations colorées, les jeux de lumière et reflets, induits par notre propre déplacement et l’angle de vision choisi pour observer l’œuvre.
→ Ce multiple a été produit dans le cadre d’une exposition présentée à l’IAC. Qu’est-ce que vous avez aimé dans cette exposition, dans le travail de l’artiste ?
EDJ : Je connaissais le travail d’Ann Veronica Janssens que j’ai eu l’occasion de découvrir lors d’une exposition à la Galerie Kamel Mennour. L’exposition mars à l’IAC fut donc en quelque sorte « des retrouvailles » avec les œuvres et la démarche artistique d’Ann Veronica Janssens, dont j’apprécie particulièrement les questionnements sur la perception et l’expérience immersive qu’elle offre au visiteur.
→ Pour vous, ce multiple est-il rattaché à l’exposition ? Est-il un moyen d’en garder une trace, un souvenir ?
EDJ : Effectivement ce multiple est complètement rattaché à l’exposition, il explore et poursuit le processus de travail de l’artiste.
→ Comment vous positionnez-vous en tant que collectionneur face à ce multiple ? Pour vous, est-ce qu’il rejoint une logique de collection, un fil directeur, ou bien est-ce un achat « coup de cœur » ? Comment le multiple prend-il place chez vous ?
EDJ : Je ne me définirais pas à proprement parler comme une véritable collectionneuse. En répondant à ce questionnaire, je me suis interrogée sur mon propre rapport aux œuvres et me suis rendu compte que les œuvres que j’ai pu choisir sont en majorité
des œuvres d’artistes féminines. Il s’agit à chaque fois d’un réel coup de cœur, d’une question de feeling et pas d’un choix délibéré avec un fil directeur, pas de parti pris !
